Les média commencent à réaliser que les 500 articles parus contre Riaumont depuis 2019 font de nouvelles victimes.
Cet été les parents des 400 louveteaux, scouts, louvettes et guides de Riaumont voulant que leurs enfants puissent camper ont dû les inscrire à d’autres associations.
Des pressions ont été faites pour nous interdire de participer aux cérémonies publiques du 11 novembre. Certains prétendent même nous interdire jusqu’à la joie de se retrouver à Riaumont au village de Noël !
Nombre d’anciens et d’amis de Riaumont se retrouvent agressés et salis dans leur souvenirs des années de leur jeunesse. Un Collectif des victimes de la diffamation regroupant plus de 200 anciens prend la parole (co***************@******nt.net).
Reste que ce n’est pas qu’un problème mathématique (une non-victime n’annule pas une victime). S’il y a eu de vraies victimes il faut les soutenir, et c’est à la Justice de le déterminer. Mais que leur voix ne soit pas confisquée par une poignée de mécontents, exploités par des idéologues en quête de vengeance.
D’autres collectifs existent comme celui contre Riaumont. “Nous n’avons rien contre les propos critiques des membres d’autres « Collectifs des victimes de Riaumont», quand ils sont sincères et honnêtes.” Mais tous doivent pouvoir s’exprimer.
“On n’était des garçons durs, Riaumont a fait de nous des hommes responsables, volontaires, ordonnés, généreux, sincères. Et vous osez salir nos mémoires, nos familles, nos enfants ! Quelle douleur vous nous faites ressentir, en salissant par mensonges notre Village, nos Pères… Vous n’imaginez même pas le mal intérieur que vous avez provoqué dans chacun d’entre nous.” (Thierry F.)
Leur avocat déclare (sur RCF le 13 novembre 2025)
« Ma démarche cherche uniquement à rétablir un équilibre, afin que le débat ne soit pas monopolisé par une minorité de 5 personnes et qu’on n’enferme pas Riaumont dans une présentation univoque et fallacieuse. »
Sur France-Info France3 HdF (12 novembre 2025)
“On se fait insulter en fait. Et moi, je n’aime pas me faire insulter comme ça de victime“. Ces mots recueillis au micro d’ICI Nord sont ceux de Maxime, un ancien pensionnaire de Riaumont (Pas-de-Calais). Comme près de 200 autres personnes réunies dans le collectif dit “des victimes de la diffamation“, il dénonce un traitement déséquilibré du passé de l’institution religieuse.
“Il faut rappeler que ce ne sont pas des autorités compétentes pour dire s’il y a eu des violences à Riaumont, seules les autorités judiciaires peuvent le faire. Des instructions sont ouvertes depuis 2017 sans qu’aucune décision pénale n’ait encore été prise. Tous les pères sont présumés innocents. Le collectif des victimes de la diffamation a vocation à dénoncer le déni de justice qui concerne les religieux de Riaumont, qui sont confrontés à une procédure depuis 2017 sans que rien se passe et qui fait peser un soupçon permanent sur Riaumont.”
“Le collectif des victimes de la diffamation, c’est 200 personnes. Alors pourquoi le maire de Liévin accorde de l’importance à 5 ou 6 personnes, quand nous sommes 200 ?“
” Aussi, dans un souci d’équité et de respect du contradictoire, je vous demande de bien vouloir accorder audience au Collectif des victimes de la diffamation, composé d’anciens pensionnaires de Riaumont souhaitant vous témoigner de leur expérience positive, réfuter les fausses accusations relayées dans certains médias et faire entendre la détresse que provoquent, pour eux et leurs familles, les diffamations répétées dont ils sont la cible” Maître Octave Nitkowski.
Formulaire pour contact et défense de Riaumont
(= bit.ly/agirpourriaumont ).



