Raisons historiques de l’exception “neutre” des Éclaireurs de France (avec lettre de Baden-Powell en 1932).
Le Bureau international a appris qu’une infime minorité de ce associations scoutes avaient altéré la Promesse scoute, en omettant la clause du ‘Devoir envers Dieu’ou en la rendant facultative”. Dans les quatre paragraphes suivants, le Comité mondial établit la “clause de non-rétroactivité”, réaffirme le principe général et détermine la règle pour l’avenir. Du fait de leur importance, nous avons jugé utile de citer ces dispositions in extenso : Cette question a été abondamment discutée à la deuxième Conférence internationale à Paris en 1922 et il a été estimé qu’étant donné que les quelques associations qui avaient altéré la Promesse scoute avaient déjà été reconnues, il n’était pas correct d’annuler leur reconnaissance, tout en espérant qu’elles sauraient, en temps utile, trouver le moyen de restaurer la Promesse scoute dans son intégralité.